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Ursina Nagy

Ursina Nagy : « Grâce à la SSO, j’ai un réseau professionnel. »

J’exerce la médecine dentaire générale et suis originaire de Zernez (GR). J’ai déménagé à Genève pour mes études. Un choix mûrement réfléchi. Après l’obtention de mon diplôme, je suis restée fidèle à la Suisse romande. Mon parcours m’a conduite dans le Jura bernois et sur les rives du lac de Neuchâtel. Depuis deux ans, je travaille comme médecin-dentiste assistante salariée près de Thoune.

Après mes études, j’ai réalisé à quel point les prestations de la SSO étaient précieuses. Grâce à la plateforme SSO-Jobs, j’ai rapidement trouvé des postes d’assistante intéressants qui m’ont beaucoup apporté sur le plan professionnel. Aujourd’hui, la SSO me permet d’avoir un accès de première main à des informations privilégiées. Et j’apprécie les échanges avec les autres membres lors d’événements de formation continue, tels que le Congrès de la SSO et SSO Campus ainsi qu’au sein du groupe de travail « Young Dentists ». La SSO m’a donc permis d’avoir un réseau professionnel qui me soutient.

Référence : Ursina Nagy, Dr méd.dent., s’est affiliée à la SSO durant sa période d’assistanat - sur recommandation. Elle s’engage depuis plusieurs années dans le groupe de travail « Young Dentists » au sein duquel de jeunes et futurs médecins-dentistes peuvent échanger et développer leurs idées pour SSO Campus.

Plus de portraits de membres :

Portrait de membres : Helen Mang Buckman

« La SSO nous encourage à nous former tout au long de la vie. » « Quand j’ai décidé d’étudier la médecine dentaire, ce sont mes tripes qui ont parlé. Je me suis toujours intéressée aux gens et au travail artisanal. La médecine dentaire concilie les deux aspects. Plus encore : chaque personne, chaque cas est différent. Voilà pourquoi je prends le temps de chercher à savoir de quoi la dent a besoin, de quoi la personne a besoin. 

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J’ai fait mes études à Zurich. À l’issue de l’examen fédéral obtenu en 2004, j’ai travaillé trois ans et demi dans un cabinet dentaire de Pfäffikon (ZH). L’entrée idéale dans la vie professionnelle. J’avais beaucoup de liberté, je pouvais exercer de manière autonome, mettre en œuvre les idées de traitement que j’avais. J’ai ensuite eu envie de faire une formation postgrade en chirurgie orale, mais j’y ai ensuite renoncé. À la place, je suis partie en mission humanitaire en Gambie et au Togo. J’ai ainsi pu voir de mes propres yeux un état des soins que nous ne connaissons quasiment plus en Suisse. Chez de nombreux patients, l’extraction dentaire est longtemps restée la seule option. Ce n’est que vers la fin de mes missions que les travaux prothétiques ont pris de l’importance. Je trouvais ces interventions particulièrement satisfaisantes, car on pouvait ainsi redonner aux patients leur sourire. 

De retour en Suisse, j’ai pris un poste d’assistante dans un cabinet de groupe à Schaffhouse. C’est là que j’ai suivi un CAS en éthique médicale, ai été chargée de cours à l’école pour les assistantes dentaires à Zurich et ai obtenu mon certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale. En 2015, j’ai repris un cabinet existant à Herrliberg (ZH) – là aussi ce sont mes tripes qui ont parlé. Il n’était pas prévu que je reprenne seule le cabinet, mais jusqu’à présent, cela a bien fonctionné. Les décisions sont la plupart du temps prises et soutenues par l’équipe, ce qui me décharge et me permet de me consacrer à d’autres activités qui me tiennent à cœur – comme la médecine dentaire gériatrique. J’ai installé une salle de soins dans une résidence pour seniors de Meilen (ZH) où je traite chaque mois des personnes âgées. 

S’affilier à la SSO était pour moi une évidence. J’ai adhéré à la SSO durant mes études. Être membre me permet d’obtenir rapidement des informations importantes. Ces dernières furent une aide extrêmement précieuse durant la pandémie. La SSO fédère les médecins-dentistes, définit les conditions-cadres de notre profession et nous encourage à nous former tout au long de la vie. »

Portrait de membres : André Barteld

« Trouve-toi un métier qui te donne de l’autonomie. C’est mon père qui m’a donné ce conseil. Aujourd’hui encore, j’apprécie les libertés entrepreneuriales et personnelles que me laisse la profession de médecin-dentiste. La médecine dentaire est une combinaison unique entre le travail manuel et le travail intellectuel. Je me sens comme un artisan possédant une formation universitaire. Ce que je produis par mon travail est réel, mes patients me font immédiatement leur retour. Les traitements sont souvent liés à un processus artistique et créatif. C’est la raison pour laquelle, après toutes ces années, mon métier continue de me combler.

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J’ai grandi à Zoug et ai fréquenté le lycée d’Einsiedeln. J’ai achevé mes études de médecine dentaire en 1986 à Zurich ; deux ans plus tard, j’ai soutenu ma thèse. En 1989, j’ai déménagé à Schaffhouse pour une place d’assistant. J’y suis resté quatre ans et demi. Le cabinet était bien géré, mon chef était un véritable mentor qui aimait transmettre son savoir. J’ai pu en profiter et ai été armé au mieux pour sauter le pas vers l’indépendance. En 1993, j’ai ouvert mon propre cabinet de médecine dentaire générale – en partant de zéro. Je n’avais pas vraiment de patientèle, mais j’ai été là au bon endroit au bon moment. Il y avait à cette époque une grande pénurie de médecins-dentistes à Schaffhouse. Quelques semaines après l’ouverture, mon planning de rendez-vous était déjà bien rempli. Depuis, la situation a beaucoup changé. La concurrence nous pousse à nous adapter. Voilà pourquoi j’ai continuellement fait évoluer mon cabinet et introduit de nouvelles méthodes et de nouveaux systèmes.

Je me suis affilié à la SSO à l’ouverture de mon cabinet. Je considère aujourd’hui, tout comme à l’époque, que la SSO est une référence indispensable. Les directives relatives aux salaires ou les contrats de travail guident le combattant solitaire que je suis et me soutiennent dans mon rôle d’entrepreneur. Pour les questions juridiques, je peux me tourner vers un service juridique spécialisé qui me fournit rapidement des réponses. Et chaque année, je me rends au Congrès de la SSO ; c’est pour moi le lieu où je peux rencontrer des consœurs et des confrères. Depuis des années, je m’engage dans mon canton, au début comme président de la Commission de déontologie, et depuis 2015, au comité de la SSO Schaffhausen. Mon engagement dans la politique professionnelle me permet d’être impliqué et d’obtenir rapidement des informations qui me servent dans mon quotidien au cabinet. »

Portrait de membres : Marco Ponti

« Une médecine spécialisée doublée d’un travail manuel de précision : c’est ce qui m’attire dans la médecine dentaire. Je travaille dans la cavité buccale des gens, un microcosme tout aussi complexe que passionnant. Je dispose à cette fin d’outils qui sont d’une grande technicité et, aujourd’hui, de plus en plus numérisés. Je continue de me spécialiser chaque jour. Les diagnostics et les interventions deviennent plus simples et pour les patients, moins douloureux et donc plus agréables ; une situation gagnant-gagnant.

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J’ai grandi à Massagno, une commune de la banlieue de Lugano. J’ai étudié à Zurich et ai obtenu mon diplôme en 2000. À l’issue de mes études, j’ai passé cinq ans dans une clinique de médecine dentaire gériatrique et pour personnes en situation de handicap. En 2005, j’ai été sollicité pour participer à un projet intéressant. Plusieurs communes de la région de Mendrisio étaient à la recherche d’un médecin-dentiste qui contribuerait à monter un service dentaire régional (Servizio Medico Dentario regionale, SMDR). Le SMDR est une clinique publique de médecine dentaire, financée et gérée par les communes affiliées. Son objectif : proposer aux habitants des soins dentaires de qualité à des prix abordables. Mettre en place ce service a été à la fois stimulant et instructif. Au bout de sept ans, le temps était venu de changer de cap professionnel. Mon épouse et moi-même avons décidé d’ouvrir notre propre cabinet à Massagno, la commune dont je suis originaire. Ça a été chose faite en 2013 ; un retour aux sources pour moi. Outre mon activité professionnelle, je m’engage aujourd’hui en politique et dans la vie associative. Je suis membre du conseil communal et aussi président de la SAMbenefica, une association d’utilité publique au sein de la commune de Massagno.

Je me suis déjà affilié à la SSO durant mes études et me suis senti honoré de cette adhésion. Aujourd’hui, j’apprécie énormément les services et les offres que propose la SSO, à commencer par le suivi du tarif. Et en tant qu’entrepreneur, je profite de conditions avantageuses chez Prodega, IBA ou auprès de la caisse de compensation AVS Medisuisse. Les formations continues à prix avantageux ainsi que les Congrès de la SSO m’ouvrent, professionnellement et personnellement, de nouveaux horizons.

Mieux vaut prévenir que guérir. Cet adage a une signification importante dans notre modèle de soins. Mais prévenir, cela implique d’informer et de sensibiliser. C’est précisément ce que fait la CISI (Commissione d'informazione della Svizzera italiana) de la SSO depuis des décennies. Lorsque j’ai été sollicité, je n’ai pas dû réfléchir longtemps. Le travail qu’effectue la commission est extrêmement précieux. Nous informons les patients de la petite enfance à un âge avancé et leur montrons comment maintenir les dents en bonne santé. La CISI produit du matériel d’information, lance des campagnes et forme même des professionnels. Il y a peu, nous avons organisé un cours s’adressant aux sages-femmes. Ce travail a un sens et il est très enrichissant. »

Portrait de membres : Bianca Cordey-Rosenkranz

« Ce qui me fascine dans ma profession ? C’est que la médecine dentaire est un métier d’artisanat basé sur un fondement scientifique. Le contact avec les patients est pour moi un enrichissement et devenir indépendant est relativement facile.

Bianca Cordey-Rosenkranz

J’ai fait mes études à Berlin. Pendant mes années d’assistanat, j’ai travaillé dans différents cabinets dentaires. Pour devenir spécialiste en chirurgie orale, je suis retournée à l’université. Peu de temps après, j’ai obtenu mon doctorat à Düsseldorf. Puis, j’ai travaillé en Grande-Bretagne durant deux ans et demi dans la région de l’Est-Anglie. En 2007, j’ai pleinement choisi d’aller vivre et travailler en Suisse : d’une part à cause des montagnes et de la nature, de l’autre, à cause de la conception libérale de l’exercice de la profession de médecin-dentiste. Je me suis installée à Bulle (FR) sans avoir de grandes connaissances en français. Cinq ans plus tard, j’ai repris un cabinet dans le centre de Fribourg. Sur conseil de mon prédécesseur, je me suis affiliée à la section cantonale de la SSO. Cette affiliation m’a permis d’accéder à un réseau professionnel. Je peux échanger avec des confrères et des consœurs, je reçois de précieux conseils et je profite de diverses offres, comme des formations postgrades à prix avantageux ou la revue gratuite de la SSO, le SWISS DENTAL JOURNAL.

Comme j’aime apprendre et essayer de nouvelles choses, je me suis engagée d’abord dans une commission et depuis 2021, je fais également partie du comité de la section cantonale. Pas un jour ne passe sans que j’apprenne que la responsabilité personnelle et l’engagement volontaire font partie de l’identité de la Suisse. C’est une part de liberté et un privilège. Depuis le mois d’avril, j’occupe la présidence de la section. C’est un nouveau défi que j’ai accepté grâce au soutien que me témoignent mes collègues de section plus expérimentés et évidemment aussi mon mari. Nous traitons de sujets importants comme la représentation des intérêts des confrères et des consœurs auprès des autorités cantonales, le travail de la section, l’évaluation de l’offre de soins en médecine dentaire dans les homes et le projet pilote ‹Santé bucco-dentaire pour tout le monde›. Ce travail est payant, pour tous.»

Portrait de membres : Jaro Kleisner

« Je suis médecin-dentiste en chef en cariologie et médecine dentaire restauratrice au département de médecine dentaire restauratrice de l’Université de Bâle. Pour moi, la profession de médecin-dentiste est la meilleure au monde, surtout en tant que femme : il est possible de travailler à temps partiel, ce qui permet de bien concilier travail et famille. La différence entre être médecin-dentiste à l’université et médecin-dentiste dans un cabinet réside dans le fait que je peux me spécialiser dans mon domaine de compétences et que l’on m’envoie des patients présentant des pathologies similaires. Cela vaut la peine de se spécialiser. J’optimise mes capacités et si le problème dépasse mes compétences, je peux compter sur une équipe qualifiée.

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En tant que médecin-dentiste salariée, je profite aussi des avantages de l’affiliation à la SSO. J’apprécie tout particulièrement les liens que je peux nouer avec des médecins-dentistes privés. J’ai participé à deux congrès de la SSO et j’ai pu y créer de bons contacts. Les initiatives telles que SSO Campus, l’événement pour les jeunes et les futurs médecins-dentistes, sont importantes et utiles pour celles et ceux qui entrent dans la vie active.

Grâce à mon affiliation, j’ai pu obtenir un soutien financier du Fonds de recherche de la SSO pour notre laboratoire. À ne pas sous-estimer non plus : les rabais dont on peut bénéficier en tant que membre de l’association. Je viens de m’acheter une nouvelle voiture. En tant que membre de la SSO, j’ai bénéficié d’un rabais de flotte. Les avantages ont dépassé de plusieurs multiples le montant de la cotisation annuelle à la SSO.

Portrait de membres : Daniel Bhend

« J’ai obtenu mon diplôme en 1984, cela fait donc maintenant près de 40 ans que j’exerce la profession de médecin-dentiste. D’un point de vue technique, beaucoup de choses ont changé avec le temps : ce que nous avons appris autrefois à l’université n’est aujourd’hui à 90 % plus d’actualité. Le contexte a aussi beaucoup évolué : avant, il y avait trop peu de médecins-dentistes, aujourd’hui, il y en a beaucoup, notamment en provenance de l’étranger. Du côté des patients, on constate que la prophylaxie porte ses fruits. De nos jours, on a besoin de moins de médecins-dentistes, les contrôles et l’hygiène dentaire représentent l’essentiel du travail. Et en soi, c’est une bonne chose.

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Après avoir obtenu mon diplôme en 1984, j’ai travaillé trois ans dans ce cabinet ici et ensuite, je suis parti pour un an au Nicaragua. Là-bas, je faisais du bénévolat. En fin de compte, j’y ai passé treize ans. Cela a été une époque passionnante et enrichissante. Je suis rentré en Suisse en 2000.

Au cabinet, nous avons recours à bon nombre de prestations de la SSO. Tout d’abord le tarif que la SSO a élaboré et négocié. Mes expériences faites dans un pays en voie de développement, où il n’y a aucune structure, m’ont appris à quel point cela peut être pénible sinon. Nous utilisons également les contrats de travail et les directives de la SSO relatives aux salaires et sommes affiliés à la caisse de pensions de la SSO. L’assistance juridique nous a épaulés et la SSO a estimé le cabinet. Je suis de 1955, la remise du cabinet prend du retard. Je travaille depuis dix ans avec un collègue qui souhaite le reprendre. Il y a un an et demi, lorsque j’ai eu 65 ans, il était trop tôt pour arrêter. Mais à présent, le moment est venu. C’est un métier astreignant. »

Portrait de membres : Adrian Cano

« Ce qui me plaît dans la profession de médecin-dentiste, c’est la combinaison de différentes aptitudes, surtout en tant qu’indépendant : nous avons besoin de compétences humaines, mais aussi intellectuelles, et nous pouvons utiliser nos connaissances médicales. Notre travail est concret et n’exige pas de passer tout son temps devant un ordinateur. Lorsque je reconstruis ou modèle une dent, j’effectue un travail artistique. Je suis fier et satisfait lorsque je vois le résultat. Et puis il y a aussi le fait de diriger une entreprise avec tout ce que cela implique, comme la gestion du personnel, les tâches administratives, les aspects financiers ainsi que la réalisation de sa propre vision.

Adrian Cano

J’ai choisi d’étudier la médecine dentaire parce que j’ai toujours été fasciné par la médecine et j’aime le contact avec les gens. Contrairement aux médecins, les médecins-dentistes ne sont pas autant liés à l’hôpital, ils sont rapidement opérationnels et peuvent fonder leur propre cabinet plus tôt. Il est également plus facile de concilier vie professionnelle et vie de famille. Avant de me mettre à mon compte, j’ai travaillé à la Clinique de médecine dentaire restauratrice, préventive et pédiatrique auprès du professeur Adrian Lussi, au sein de l’Université de Berne. En 2018, j’ai créé mon propre cabinet avec ma camarade d’études Andrea Zimmermann. Nous l’avons mis sur pied à partir de zéro.

Pour nous, c’était un plongeon dans le grand bain. Nous avions tous les deux peu d’expérience dans le secteur privé ou de connaissances en gestion, et ce n’est pas un sujet que nous avions abordé pendant nos études. Mais grâce à notre équipe soudée, nous avons su relever ce défi. Une nouvelle entreprise représente beaucoup de travail. Il faut prendre de nombreuses décisions et il nous arrive de nous tromper. On en tire des enseignements – et on en sort grandi. Tout ce processus demande de la persévérance, car entre le moment où l’idée commence à mûrir et celui où l’on reçoit son premier patient, il peut s’écouler plusieurs années.

Nous sommes passés par la plateforme SSO Jobs pour recruter le personnel du nouveau cabinet. Nous nous sommes référés aux contrats types de la SSO pour établir les contrats de travail. Je profite également des rabais exclusifs accordés aux partenaires de la SSO. La SSO est aussi pour moi un lieu de réseautage, qui me permet d’entretenir des relations et de m’engager en faveur de la profession. L’adhésion a donc toujours été profitable pour moi. »

Portrait de membres : Marie-Gabrielle Schumacher

« J’ai choisi ce métier, car je suis fascinée par la proximité et le lien personnel que le médecin-dentiste entretient avec ses patients ainsi que par l’adresse dont il fait preuve avec ses mains. Depuis toute petite, je m’intéresse à la médecine et très tôt j’ai su que je voulais aussi travailler de mes mains. C’est donc tout naturellement que je me suis tournée vers la médecine dentaire. Après mes études à Bâle, une mission humanitaire dentaire au Cambodge et trois années passées en tant qu’assistante dans la région de Lucerne, j’ai repris en 2018 un cabinet à Malters. Je connaissais mon prédécesseur depuis mon enfance : c’était mon médecin-dentiste de famille !

Zahnärztin Marie-Gabrielle Schumacher

Être à son compte, c’est quelque chose de connu pour moi. Dans ma famille, beaucoup sont indépendants. J’ai donc baigné dedans depuis que je suis toute petite. J’ai été attirée par la plus grande compatibilité avec la vie privée qu’offre l’indépendance. Il y a certes plus de charge de travail, mais aussi plus de flexibilité et de possibilités d’adapter les structures à la famille. L’équilibre entre ma vie professionnelle et ma vie personnelle ainsi que celui de mes collaboratrices est très important pour moi.

Quand j’ai repris le cabinet, cela m’a beaucoup aidée d’avoir un entourage formidable et de connaître des personnes dans le milieu de la médecine dentaire qui m’ont soutenue à chaque instant. Le plus grand défi pour moi a été la gestion administrative et celle du personnel. Avant de reprendre le cabinet, j’ai participé au séminaire de la SSO dédié au thème de la reprise d’un cabinet. Cela a été une aide précieuse dans les négociations pour reprendre le cabinet et pour démarrer en tant qu’indépendante. Dans la vie quotidienne du cabinet, les contrats types de la SSO constituent une base de grande valeur. S’agissant du coronavirus, les documents de synthèse et les infolettres m’ont aussi beaucoup aidée. En outre, j’apprécie beaucoup que la SSO rende possible l’organisation en sections. Cela permet d’apprendre à connaître les autres médecins-dentistes du canton, d’échanger et de créer des réseaux. »

Portrait de membres : Julia Amato

« Je suis médecin-dentiste en chef en cariologie et médecine dentaire restauratrice au département de médecine dentaire restauratrice de l’Université de Bâle. Pour moi, la profession de médecin-dentiste est la meilleure au monde, surtout en tant que femme : il est possible de travailler à temps partiel, ce qui permet de bien concilier travail et famille. La différence entre être médecin-dentiste à l’université et médecin-dentiste dans un cabinet réside dans le fait que je peux me spécialiser dans mon domaine de compétences et que l’on m’envoie des patients présentant des pathologies similaires. Cela vaut la peine de se spécialiser. J’optimise mes capacités et si le problème dépasse mes compétences, je peux compter sur une équipe qualifiée.

Julia Amato Zahnärztin

En tant que médecin-dentiste salariée, je profite aussi des avantages de l’affiliation à la SSO. J’apprécie tout particulièrement les liens que je peux nouer avec des médecins-dentistes privés. J’ai participé à deux congrès de la SSO et j’ai pu y créer de bons contacts. Les initiatives telles que SSO Campus, l’événement pour les jeunes et les futurs médecins-dentistes, sont importantes et utiles pour celles et ceux qui entrent dans la vie active.

Grâce à mon affiliation, j’ai pu obtenir un soutien financier du Fonds de recherche de la SSO pour notre laboratoire. À ne pas sous-estimer non plus : les rabais dont on peut bénéficier en tant que membre de l’association. Je viens de m’acheter une nouvelle voiture. En tant que membre de la SSO, j’ai bénéficié d’un rabais de flotte. Les avantages ont dépassé de plusieurs multiples le montant de la cotisation annuelle à la SSO.

Portrait de membres: Adrienne Schneider

« La médecine dentaire me tient à cœur. Mon grand-père, qui a fondé notre cabinet dentaire à Baden (AG) il y a 71 ans, et mon père étaient tous deux des médecins-dentistes passionnés. Moi aussi, j’ai été prise de fascination pour cette profession exigeante et en constante évolution. Je suis enthousiasmée par les différentes facettes de ce domaine d’activité qui demande d’avoir des connaissances aussi bien cliniques, humaines que techniques. Notre travail permet d’améliorer directement la qualité de vie de nos patients, ce qui procure un merveilleux sentiment.

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J’ai suivi ma formation à Berne, puis j’ai travaillé comme médecin-dentiste assistante dans un cabinet privé à Olten. Je suis ensuite retournée à l’université pour suivre ma formation postgrade et passer le premier master en implantologie orale de l’Université de Berne. J’ai intégré il y a onze ans le cabinet de mon père et je l’ai repris il y a cinq ans. Aujourd’hui, j’emploie quinze collaborateurs. La SSO m’a accompagnée durant toutes ces phases de ma carrière professionnelle et a été un partenaire solide qui m’a soutenue dans les défis opérationnels. Elle apporte des aides concrètes telles que le service de placement, les contrats types de travail et la propre caisse de pensions AVS medisuisse.

La médecine dentaire est aussi bien une profession qu’un hobby pour moi, raison pour laquelle je m’engage également au sein de la SSO. J’ai fait partie d’un groupe pilote qui a révisé le Règlement régissant la formation menant à l’obtention du certificat de formation postgrade en médecine générale (CFP SSO en médecine générale) et vais bientôt siéger à la Commission des affaires économiques (CAE) de la SSO. Mon but est d’intégrer dans la discussion le point de vue des jeunes et notamment celui de jeunes femmes qui ont une famille et de faire évoluer la profession. Je suis très heureuse de cette nouvelle mission à accomplir et suis impatiente de mener des discussions intéressantes avec mes collègues de la commission.

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Membre de la SSO ? Une affiliation qui en vaut la peine.

Être membre de la SSO est une bonne chose, non seulement parce que nous nous engageons pour les intérêts des médecins-dentistes qui exercent en Suisse, mais aussi parce que cela vous permet de profiter de divers avantages.

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